Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Voyages d'une vie

James Henry, Pavans Jean, Pavans Jean
Publication date 27/02/2020
EAN: 9782221199947
Availability Available from publisher
Henry James, le plus grand romancier américain de son époque, a durant toute sa vie voyagé en Europe comme dans son pays natal, pour promener " un désir aux yeux ouverts ", désir de noter tout ce qui pouvait alimenter ses sensations, son érudition, s... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherBOUQUINS
Page Count992
Languagefr
AuthorJames Henry, Pavans Jean, Pavans Jean
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date27/02/2020
Weight670 g
Dimensions (thickness x width x height)3.30 x 13.40 x 20.00 cm
Henry James, le plus grand romancier américain de son époque, a durant toute sa vie voyagé en Europe comme dans son pays natal, pour promener " un désir aux yeux ouverts ", désir de noter tout ce qui pouvait alimenter ses sensations, son érudition, son inspiration et ses fictions. Il a rassemblé ses notations considérables dans de mémorables essais et récits de voyage.Sous le titre de Voyages d'une vie se trouvent ici regroupés trois grands volumes : Heures anglaises (1905), Heures italiennes (1909) et La Scène américaine (1907). Heures anglaises et Heures italiennes sont des recueils de textes écrits au fil du temps, avec d'admirables variations d'humeur au gré des époques. Les " livres d'heures " étaient, à la fin du Moyen Âge, des manuels de dévotion privée ornés d'enluminures. Or c'est bien une dévotion que James éprouve pour ses deux pays de prédilection : l'Angleterre, qu'en quelque sorte il a épousée, et l'Italie, qui est comme sa maîtresse idéale. Dans les Heures italiennes, il célèbre la " bienheureuse péninsule " sous ses aspects et dans ses profondeurs les plus intimes, les plus ardents, et aussi les plus sensuels.La Scène américaine est le fruit d'un périple d'une douzaine de mois qu'accomplit James en Amérique à partir d'août 1904 après plus d'une vingtaine d'années d'absence, ou plutôt, comme il l'écrit, d'" absentéisme ". Il avait quitté un New York encore quasiment provincial. Il y découvre le surgissement des gratte-ciel, les flots d'immigrés de toutes origines, les constitutions de fortunes colossales, bref, l'explosion du XXe siècle et les prémices de la future domination planétaire des États-Unis. Ici comme en d'autres lieux, la perspicacité du regard de l'écrivain a quelque chose de prémonitoire, et par là d'intemporellement actuel.