Treatment in progress...
Close notification

We are back !

Welcome on your new side.fr !

Display notification

Les cèdres du roi

Muller Martine Marie
Publication date 04/04/2002
EAN: 9782221096277
Availability Missing temporarily
Un roman original, une tragédie personnelle – comment un innocent devient bourreau, puis bourreau de lui-même.À la très célèbre Aliénor d'Aquitaine, on a consacré bien des livres. Celui-ci, si Aliénor en est la figure centrale, raconte bien autre cho... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherROBERT LAFFONT
Page Count252
Languagefr
AuthorMuller Martine Marie
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date04/04/2002
Weight312 g
Dimensions (thickness x width x height)2.10 x 13.60 x 21.50 cm
Un roman original, une tragédie personnelle – comment un innocent devient bourreau, puis bourreau de lui-même.À la très célèbre Aliénor d'Aquitaine, on a consacré bien des livres. Celui-ci, si Aliénor en est la figure centrale, raconte bien autre chose que les amours et les caprices de la duchesse d'Aquitaine, reine de France puis d'Angleterre. Il s'agit d'une tragédie dont le véritable héros fut Louis VII, le premier époux d'Aliénor. Il était mieux fait pour être moine que roi, et il avait l'austérité des Francs; elle avait la beauté, la grâce, l'intelligence des filles du Midi, terre de troubadours. Tout les opposait; elle était ardente, il était gelé. Pour complaire à sa reine, il se lança dans de brèves campagnes contre des vassaux indociles, à Poitiers et Toulouse, puis contre le puissant comte de Champagne. Et c'est là qu'il rencontra la tragédie...Devant Vitry-en-Perthois qu'il assiégeait, il acquiesça à la destruction totale de la ville: 1500 hommes, femmes, enfants furent brûlés vifs dans l'église. C'était en 1142. Ce crime, ce roi très chrétien ne se le pardonna jamais. C'est pour le réparer qu'il prit la tête de la Deuxième Croisade (1147-1149), qui fut un échec. C'est pour que le souvenir en fût gardé qu'il planta lui-même des cèdres rapportés de Terre sainte sur l'emplacement de Vitry (que l'on n'appelait plus que Vitry-le-Brûlé) – ils y sont toujours.