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LE BIGOT ET LE PÈLERIN

NOEL JEAN-FRANCOIS
Publication date 09/10/2002
EAN: 9782204070270
Availability Missing temporarily
Faut-il éviter de parler de Dieu à son psychanalyste ? Dilemme du croyant qui entreprend une thérapie, mais également difficulté théorique et éthique du thérapeute : que répondre à un patient qui parle de foi ? Le religieux, comme le psychique, le so... See full description
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Common books attribute
PublisherCERF
Page Count-
Languagefr
AuthorNOEL JEAN-FRANCOIS
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date09/10/2002
Weight186 g
Dimensions (thickness x width x height)1.10 x 13.40 x 21.50 cm
Faut-il éviter de parler de Dieu à son psychanalyste ? Dilemme du croyant qui entreprend une thérapie, mais également difficulté théorique et éthique du thérapeute : que répondre à un patient qui parle de foi ? Le religieux, comme le psychique, le social, le moral, etc, ne serait-il pas une des dimensions qui fait que l'homme est homme ? Le religieux serait alors à comprendre comme une donnée de sa nature qui le pousse à reconnaître et désigner ce qui l'inquiète, le traverse et le transcende. Reste alors à définir la relation du psychique et de ce religieux, leur collaboration, voire leur concurrence. Et comment un travail thérapeutique peut réveiller ce religieux ou, au contraire, l'étouffer ! Dans la Bible, Dieu ne s'offusque pas de se révéler au psychisme humain, quitte à être « imagin?. Bien ou mal d'ailleurs. Le bigot, l'indigné, le superstitieux élaborent une petite image commode et sécurisante de Dieu, mais une image figée. Ils se refusent à une expérience qui dépasserait l'imaginaire et l'ouvrirait à un ailleurs : l'expérience symbolique. Ce que justement le bon larron, les pèlerins d'Emmaüs, l'enfant prodigue, le publicain et la Samaritaine vont être amenés à vivre... L'expérience symbolique, est-ce une autre manière de parler de guérison ?--Should one avoid mentioning God to one's analyst? This is the dilemma of the believer who undertakes therapy, but it is also a theoretical and ethical problem for therapists: how should they respond to a patient who speaks about faith? Isn't the religious - like the psychic, the social and the moral - one of the dimensions that make men what they are? If so, the religious must be seen as a given factor of man's nature, one that drives him to recognise and designate what disturbs, penetrates and transcends.