Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Montesquieu. Pouvoirs, richesses et sociétés

Spector Céline
Publication date 01/04/2004
EAN: 9782130529354
Availability No availability information
L'étude des rapports entre richesses, pouvoirs et sociétés dans "L'esprit des lois" a souvent conduit à faire de Montesquieu l'un des pères fondateurs avec Locke, du libéralisme politique. Ce livre propose une autre interprétation d'un ordre sans ver... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherPUF
Page Count304
Languagefr
AuthorSpector Céline
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date01/04/2004
Weight410 g
Dimensions (thickness x width x height)1.60 x 15.00 x 21.70 cm
L'étude des rapports entre richesses, pouvoirs et sociétés dans "L'esprit des lois" a souvent conduit à faire de Montesquieu l'un des pères fondateurs avec Locke, du libéralisme politique. Ce livre propose une autre interprétation d'un ordre sans vertu, ce que l'on pourrait ainsi formuler : en l'absence de dévouement civique, d'une primauté accordée au bien commun, l'intérêt suffit-il à préserver la liberté politique et à fonder le lien social ? Il s'agit d'explorer le différentes voies tracées par Montesquieu face au "mal politique" incarné dans le despotisme. Sans proposer de régime idéal, il théorise des formes de gouvernement dont la prospérité et la liberté sont obtenues en l'absence de vertu religieuse, morale ou politique. Le modèle anglais régi par le mobile dominant de l'intérêt et du profit, le modèle français fondé sur les manières, honneur, politesse. La société civile peut dans ces deux cas prendre son essor en l'absence de toute référence religieuse ou morale imposée par le souverain. La participation à la vie civique n'est pas un renoncement à l'indépendance individuelle, la vigilance des citoyens demeure indispensable à la protection des droits.