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Apprendre à aimer les mathématiques

Hatchuel Françoise
Publication date 14/04/2000
EAN: 9782130501879
Availability Available from publisher
A quelles difficultés se heurte-t-on quand on apprend ? Pourquoi ce qui paraît évident à certain(e) semble insurmontable à d'autres, quand ils ou elles viennent d'un milieu social défavorisé ? Dans cet ouvrage, issu d'un travail de doctorat, ces ques... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherPUF
Page Count320
Languagefr
AuthorHatchuel Françoise
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date14/04/2000
Weight390 g
Dimensions (thickness x width x height)2.00 x 13.50 x 21.50 cm
A quelles difficultés se heurte-t-on quand on apprend ? Pourquoi ce qui paraît évident à certain(e) semble insurmontable à d'autres, quand ils ou elles viennent d'un milieu social défavorisé ? Dans cet ouvrage, issu d'un travail de doctorat, ces questions se posent en termes de rapport au savoir entendu dans sa dimension fantasmatique. L'auteur y montre en effet qu'apprendre, c'esst accepter de s'approprier du savoir et que cette appropriation peut être considérée comme dangereuse voire impossible, par le psychisme. L'exemple d'élèves travaillant librement dans des ateliers mathématiques, en-dehors des contraintes institutionnelles habituelles, permet d'étudier quelques modalités possibles d'un fonctionnement facilitateur. Le rôle de l'enseignant(e), dans sa relation avec l'élève et au savoir est et apparaît essentiel dans ce fonctionnement. Le volontariat des élèves met en évidence l'importance d'une adéquation entre structuress psychiques des uns, des unes et des autres : les élèves fréquentent les ateliers qui leur correspondent psychiquement parlant. Mais le risque existe alors de voir l'élève demeurer sous l'emprise de l'adulte. Ce risque est d'autant plus grand que l'enseignant(e) s'il ou elle ne questionne pas osn désir de créer un atelier, peut rester prisonnier d'enjeux affectifs et narcissique. Ce faisant, le travail d'élaboration de la relation à l'élève, donc de son autonomisation ultérieure, peut devenir difficile. Sauf si l'élève n'a déjà durablement engagé par ailleurs un mouvement d'émancipation qui lui permette de bénéficier pleinement des avantages de l'atelier maths. Les entretiens d'élèves et d'enseignant(e)s, analysés dans une perspective clinique, interrogent donc à la fois les théoriess de l'apprentissage et les problématiques de l'institution et de l'innovation. A quelles conditions institutionnelles une innovation peut-elle aider les élèves à apprendre, notamment quand il ou elle sont en difficulté ? Texte de couverture