Treatment in progress...
Close notification

Did you know that ?

SIDE has worked with its suppliers to make our parcels environmentally friendly.
No more plastics !
The tape that keep our parcels tightly shut and the wedging material that immobilizes books within the cartons are now made of fully recyclable and biodegradable materials.

Display notification

Delacroix

Doutriaux Annick, Sérullaz Arlette
Publication date 15/03/2018
EAN: 9782072770043
Availability Available from publisher
Tout à la fois romantique et classique, dilettante et bourreau de travail, solitaire et mondain, Eugène Delacroix a tout peint. Passionnément. D'une vaste érudition, il a trouvé son inspiration chez les plus grands, Shakespeare, Goethe, Byron et Dant... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherGALLIMARD
Page Count160
Languagefr
AuthorDoutriaux Annick, Sérullaz Arlette
FormatPaperback / softback
Product typeBook
Publication date15/03/2018
Weight221 g
Dimensions (thickness x width x height)0.90 x 12.50 x 17.80 cm
"Une fête pour l'oeil"
Tout à la fois romantique et classique, dilettante et bourreau de travail, solitaire et mondain, Eugène Delacroix a tout peint. Passionnément. D'une vaste érudition, il a trouvé son inspiration chez les plus grands, Shakespeare, Goethe, Byron et Dante. Passant librement du mythe à la réalité, il a traduit les souffrances de son siècle avec une rare puissance imaginative, Les Massacres de Scio, La Grèce sur les ruines de Missolonghi, La Liberté guidant le peuple, symbole à jamais de la révolution. En 1832 au Maroc, il découvre, fasciné, la lumière implacable et l'"Antiquité véritable" ; aquarelles et croquis se multiplient, pour constituer le substrat d'une centaine de tableaux dont les Femmes d'Alger (1834). De retour à Paris, il se voue aux "grandes lumières de la peinture murale" (Assemblée nationale, Sénat), et après avoir versé "tour à tour sur ses toiles inspirées le sang, la lumière et les ténèbres", livre à l'église Saint-Sulpice le dernier combat de sa vie, lui ce voltairien convaincu qui n'a cessé de confier à son Journal, en même temps que ses réflexions esthétiques, ses questions et ses doutes. Arlette Sérullaz et Annick Doutriaux éclairent l'univers de ce peintre-poète dans lequel Baudelaire voyait le "chef de l'école moderne".