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Women Prisoner Polaroids

Lueders-Booth Jack
Publication date 09/05/2024
EAN: 9781913288709
Availability Available from publisher
À l'automne 1977, Jack Lueders-Booth a commencé à enseigner la photographie aux détenues de MCIFramingham, une prison pour femmes.Au cours des dix années qu'il a passées dans cet établissement, il a réalisé une série d'images polaroiden collaboration... See full description
Attribute nameAttribute value
Common books attribute
PublisherSTANLEY BARKER
Page Count-
Languageen
AuthorLueders-Booth Jack
FormatHardback
Product typeBook
Publication date09/05/2024
Weight600 g
Dimensions (thickness x width x height)2.30 x 25.00 x 20.00 cm
À l'automne 1977, Jack Lueders-Booth a commencé à enseigner la photographie aux détenues de MCIFramingham, une prison pour femmes.Au cours des dix années qu'il a passées dans cet établissement, il a réalisé une série d'images polaroiden collaboration avec les femmes qui vivaient dans la prison. 50 de ces images sont présentées dans cenouveau livre, accompagnées de récits oraux recueillis à l'époque par Booth.Fondé en 1878, le MCI Framingham a été ouvert pour accueillir les femmes incarcérées pour avoirdonné naissance à un enfant hors mariage, c'est-à-dire pour avoir engendré (le crime de Hester Prynnedans le roman de Nathaniel Hawthorne de 1850, La lettre écarlate). Quelques années plus tard, le centrede détention de Framingham a commencé à incarcérer des femmes pour vol à l'étalage, prostitutionorganisée, consommation et trafic de stupéfiants, vol à main armée, maltraitance d'enfants et meurtre.De nombreuses femmes incarcérées à Framingham ont été condamnées pour avoir aidé leur mari ouleur petit ami à commettre des crimes. Au milieu des années 70, l'établissement pénitentiaire faisaitpartie d'une expérience de normalisation visant à atténuer les conséquences psychologiques del'incarcération. Dans les images de Booth, ni les détenus ni les gardiens ne portent d'uniforme, lescellules ressemblent à des dortoirs et les détenus peuvent les meubler et les décorer dans le respect desdirectives. Les détenus masculins ont été introduits, constituant vingt pour cent de la populationcommune. De nombreux détenus figurant sur les images de Lueders-Booth avaient des enfants à chargequi étaient confiés à des parents ou à des familles d'accueil désignées par le tribunal ; ils étaientautorisés à recevoir la visite d'un adulte