Et si on appuyait sur pause ?
Face à l'accélération technologique, imposée à tous les échelons de nos vies sociales, économiques et politiques, sans concertation démocratique, et en dépit de leurs impacts écologiques délétères et irréversibles, une pause est-elle envisageable ? Et si oui, quels contours peut elle prendre? Les « alternatives numériques» comme le « cyber éco-socialisme » portées par certains penseurs à gauche sont-elles souhaitables et mêmes soutenables ? Comment se déploie la résistance à ces technologies « du virtuel », quel nouveau rapport de force induit-elle ?